Des millions de personnes ont reçu l'aide du PAM, mais en raison des contraintes d'accès et autres, l'aide n'atteint qu'une fraction des plus nécessiteux.
La suspension intervient alors que les agences de l'ONU se joignent à l'appel en faveur d'un accès humanitaire sûr, et qu'une nouvelle analyse confirme les pires craintes.
Vingt ans après sa création, le Service aérien d’aide humanitaire des Nations Unies (UNHAS) géré par le PAM, reste une bouée de sauvetage pour les communautés précaires, malgré le manque de financements qui menace son avenir.
Alors que nous célébrons les progrès, il est important de reconnaître qu'un plus grand nombre d'apprenants doivent se voir offrir un accès durable à la nutrition.
En renforçant les systèmes d'alerte précoce, en prévoyant les risques climatiques et en donnant aux populations un temps de préparation précieux, le PAM donne aux communautés les outils dont elles ont besoin pour se protéger contre les effets du climat.
Face à l'explosion des besoins en financement et aux déplacements de population, le Programme Alimentaire Mondial vise à fournir à des millions de personnes affectées par le conflit des repas prêts à consommer, un soutien nutritionnel et de l'argent en espèces.
Les violences, la crise économique, le changement climatique et la diminution de l’aide humanitaire parmi les facteurs favorisant l’insécurité alimentaire
Avant le Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires en septembre, les personnes impliquées dans tous les aspects de la production, du transport et de la consommation d'aliments se réunissent lors d'un « pré-sommet » à Rome.
Le PAM vient en aide à des millions de personnes désespérées, mais le conflit en cours risque de faire de la plus grande crise de déplacement au monde également sa plus grande crise alimentaire