Une analyse récente menée par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) montre que les hostilités en cours dans le pays intensifient les facteurs de la malnutrition de l’enfant, à savoir le manque d’accès à des aliments nutritifs, à l’eau salubre et à l’assainissement, ainsi que le risqu
Le Programme alimentaire mondial (PAM) est en première ligne au sein du système des Nations Unies en matière de partage d'informations avec ses États membres et le grand public, et s'engage à faire preuve d'efficacité et d'efficience.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
L’hélicoptère birotor qui atterrit sur la piste d’atterrissage poussiéreuse de Fada N’gourma change la donne pour les communautés souffrant de faim à l’est du Burkina Faso.
Ce nouveau financement permettra au PAM de continuer à fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle vitale à 92 100 personnes parmi les réfugiés les plus vulnérables, les rapatriés, les personnes déplacées internes et les communautés d'accueil.
La dégradation de la sécurité et de la situation humanitaire au Burkina Faso, au Mali et au Niger a déclenché des mouvements de réfugiés vers le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana et le Togo.
Au cours de l’année écoulée, le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a connu le pire déficit de financement de ses 60 ans d’histoire : nous n’avons collecté que 7,5 milliards de dollars sur les 23,5 milliards de dollars prévus.
Cela a entraîné une réduction colossale du nombre de personnes que nous servons.