L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le Programme alimentaire mondial (PAM) demandent un financement d'urgence pour éviter une crise alimentaire majeure.
Des collègues nous disent que l’hépatite A est la maladie numéro un à Gaza. Les maladies diarrhéiques sont également monnaie courante en raison du manque de tout type d'assainissement.
NEW YORK - Il y a cinq mois, j'ai averti le Conseil que le monde était au bord d'une pandémie de la faim. Une combinaison néfaste de conflits, de changements climatiques et de COVID-19, menaçait de pousser 270 millions de personnes dans la faim extrême. La famine était réelle.
Ce financement permettra au PAM de fournir des transferts monétaires à 56 000 réfugiés soudanais et aux Tchadiens les plus durement touchés par les multiples crises dans l'Est du Tchad. L'assistance en espèces offre une plus grande flexibilité aux personnes que nous servons pour choisir elles-mêmes leurs achats sur le marché local.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
Un sourire timide illumine le visage de Rainatou lorsqu'elle évoque son ancien métier : le tissage de nattes peules traditionnelles dans sa maison du nord du Burkina Faso. Koumba, une autre Burkinabé, est hantée par son départ brutal de la partie occidentale du pays, après que des assaillants armés ont tué ses voisins au cours d'une des nombreuses vagues de violence.