Les deux agences œuvrent avec leurs partenaires et les autorités mauritaniennes à la protection et à l’assistance des réfugiés maliens ayant trouvé refuge au camp de Mberra depuis 2012, suite au conflit au nord du Mali. Grâce aux contributions des donateurs pour ce programme, les conditions de vie des réfugiés dans le camp ont été améliorées de manière significative.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
Cet entrepôt contenait 762 tonnes métriques de nourriture du PAM prépositionnées dans le cadre de son programme d’urgence et en prévision de la saison cyclonique. Ces vivres devaient permettre en cas d’ouragan de répondre aux besoins alimentaires urgents de plus 46 000 personnes dans le sud du pays. Il est à noter que l’ensemble du personnel du PAM est en sécurité et a été pris en charge.
Toute perte de vie dans le cadre d'un service humanitaire est inacceptable et j'exige que des mesures immédiates soient prises pour garantir la sécurité de ceux qui restent.
Les travailleurs humanitaires sont neutres et ne devraient jamais être une cible.
La région qui s'étend au sud du désert du Sahara connaît actuellement l’une de ses périodes les plus sèches depuis 2011. En seulement 3 ans, le nombre de personnes marchant vers la famine est passé de 3,6 millions à 10,5 millions dans cinq pays - Burkina Faso, Tchad, Mali, Mauritanie, Niger.
Pour atteindre la Faim Zéro et éradiquer l'insécurité alimentaire qui détruit la vie de plus de 800 millions de personnes dans le monde, de nombreux intervenants sont nécessaires.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) travaille 24 heures sur 24 pour fournir une aide alimentaire aux communautés soudanaises confrontées à une faim aiguë. La priorité du PAM est de fournir une aide vitale dans 14 régions du pays aux personnes qui sont tombées dans la famine ou risquent de sombrer dans la famine après 500 jours de conflit incessant.
Lorsque Christina s'est réveillée après avoir entendu des coups de feu à 5 heures du matin un dimanche de mai, elle a décidé de se cacher sous son lit pour essayer de se protéger, elle et son bébé à naître.
"Je me suis allongée sur le ventre même si j'étais enceinte", dit-elle. "J'ai passé toute la journée à me cacher sous mon lit.