Un document signé par les autorités basées à Sanaa le samedi 3 août 2019 ainsi que des annexes techniques signées ultérieurement permettront au PAM de mettre en place un processus indépendant et responsable, visant à identifier et à enregistrer les familles qui ont le plus besoin d'une aide alimentaire vitale.
Le PAM reprendra les distributions de vivres après la fête de l'Aïd Al Adha auprès de
Le hub aérien humanitaire d'Addis-Abeba entre dans le cadre d’une initiative des Nations Unies visant à intensifier l'achat et la distribution d'équipements de protection et de médical pour l'intervention face au COVID-19.
Chers partenaires,L'humanité est collectivement confrontée à son plus grand défi depuis la Seconde Guerre mondiale. Le COVID-19 ne connaît pas de frontières, n'épargne aucun pays, ni aucun continent, et frappe sans discernement.
Les premiers camions ont livré 200 tonnes de vivres dans la ville de Ménaka, dans la région de Gao, alors que d’autres sont en route. Dans les prochains jours, ces vivres permettront d’assister, en partenariat avec l’organisation non-gouvernementale ACTED, 24 000 personnes affectées par l’insécurité alimentaire.
Soutenir le redressement
Les guides sont rattachés au Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets, sous le nom "d’équipe de recul, de reconnaissance et de réponse"(‘Remote, Reconnaissance and Response’ ou RRR). Ils aideront ainsi le PAM à préparer son opération de redressement pour venir en aide aux centaines de milliers de survivants du tremblement de terre.
D'après les registres des centres médicaux et des hôpitaux, trois personnes sont décédées, et 293 ont été admises dans les centres de santé de la région de Karamoja, dans le nord-est de l'Ouganda en mars et avril.
À propos du PAMLe PAM est la plus grande organisation humanitaire au monde qui travaille pour sauver et changer les vies de 86,7 millions de personnes dans 83 pays chaque année.
La priorité du PAM reste de nourrir les enfants, les femmes et les hommes les plus affamés du Yémen. Cependant, comme dans toute zone de conflit, certains individus cherchent à en tirer profit en s'attaquant aux plus vulnérables et en détournant la nourriture des endroits où elle est le plus nécessaire.