Chers partenaires,L'humanité est collectivement confrontée à son plus grand défi depuis la Seconde Guerre mondiale. Le COVID-19 ne connaît pas de frontières, n'épargne aucun pays, ni aucun continent, et frappe sans discernement.
Les premiers camions ont livré 200 tonnes de vivres dans la ville de Ménaka, dans la région de Gao, alors que d’autres sont en route. Dans les prochains jours, ces vivres permettront d’assister, en partenariat avec l’organisation non-gouvernementale ACTED, 24 000 personnes affectées par l’insécurité alimentaire.
Soutenir le redressement
Les guides sont rattachés au Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets, sous le nom "d’équipe de recul, de reconnaissance et de réponse"(‘Remote, Reconnaissance and Response’ ou RRR). Ils aideront ainsi le PAM à préparer son opération de redressement pour venir en aide aux centaines de milliers de survivants du tremblement de terre.
L'insécurité à Port-au-Prince et dans ses environs s'est considérablement aggravée depuis début mai, perturbant les chaînes d'approvisionnement à l'échelle nationale, l'accès aux services de base comme les marchés, les écoles et les hôpitaux, et les moyens de subsistance des Haïtiens à travers le pays.
D'après les registres des centres médicaux et des hôpitaux, trois personnes sont décédées, et 293 ont été admises dans les centres de santé de la région de Karamoja, dans le nord-est de l'Ouganda en mars et avril.
Le nouveau rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) pour le Yémen révèle que des foyers de quasi-famine (phase 5 de l’IPC) sont réapparus pour la première fois en deux ans.
À propos du PAMLe PAM est la plus grande organisation humanitaire au monde qui travaille pour sauver et changer les vies de 86,7 millions de personnes dans 83 pays chaque année.
La priorité du PAM reste de nourrir les enfants, les femmes et les hommes les plus affamés du Yémen. Cependant, comme dans toute zone de conflit, certains individus cherchent à en tirer profit en s'attaquant aux plus vulnérables et en détournant la nourriture des endroits où elle est le plus nécessaire.
Extraits des remarques de David Beasley au Sommet sur les Système Alimentaire à New York, 23 septembre 2021
"Il est maintenant temps de retrousser nos manches car, vous savez, les enfants ne peuvent pas manger de promesses vides.