Des collègues nous disent que l’hépatite A est la maladie numéro un à Gaza. Les maladies diarrhéiques sont également monnaie courante en raison du manque de tout type d'assainissement.
Après des semaines de coordination avec toutes les parties, cette première étape cruciale pourrait ouvrir la voie à un couloir d’aide plus durable à travers la Jordanie et permettre la fourniture d’une aide accrue à grande échelle.
« Nous avons déjà perdu nos maisons à Khartoum sous nos yeux et vu nos vies être détruites. Aujourd’hui, nous sommes obligés de fuir une fois de plus, laissant derrière nous le peu qui nous restait. Des centaines de milliers de personnes fuient à pied, sans nulle part où aller.
Coordonnées du siège du Programme Aimentaire Mondial (PAM) des Nations Unies à Rome, et détails pour contacter nos bureaux de pays, pour les médias, la collecte de fonds, les opportunitées d'emplois et les équipes d'approvisionnement.
La réponse du PAM pendant la période de soudure vise à renforcer les efforts des gouvernements nationaux dans la lutte contre la faim, alors qu'ils font face aux conséquences combinées des conflits, de la crise climatique et de l'augmentation des coûts des denrées alimentaires et du carburant.
Vous trouverez ci-dessous une version éditée des remarques de la Directrice exécutive adjointe du Programme alimentaire mondial, Valérie Guarnieri, lors du briefing sur Haïti au Conseil de sécurité des Nations Unies du 26 septembre.
J'ai visité Haïti il y a plusieurs mois.
Le Service aérien d'aide humanitaire des Nations unies (UNHAS), géré par le PAM, est le pilier des interventions humanitaires. Il permet d’accéder rapidement à des zones isolées ou inaccessibles.
Avec l'aide de son partenaire local Muslim Aid, le PAM a distribué assez de nourriture pour un mois pour les familles vivant dans Khadhraniya, dans la région de Shirqat.« Les familles vivant à Shirqat ont désespérément besoin d'aide humanitaire après avoir été assiégée pendant plus de deux ans », a déclaré Sally Haydock, Directrice du bureau PAM en Irak.
«Les populations souffrent toujours ; la crise n’est pas encore finie. Il existe des problèmes de sécurité dans de nombreuses communautés au nord et les personnes ne peuvent pas retourner chez elles.