Le rapport intitulé " Recherche sur la cohésion sociale au Sahel au Burkina Faso et au Niger" a été réalisé par le PAM, l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) et l'Institut pour la paix et le développement (IPD).
Le Gouvernement japonais a apporté une contribution importante de 2,04 millions de dollars américains, renforçant significativement les efforts du PAM pour combattre la faim en Haïti.
Une école primaire servant des repas scolaires est un exemple emblématique des efforts visant à promouvoir l'inclusion sociale et l'harmonie en République du Congo.
Près d'un tiers des enfants qui fréquentent l'école Makoubi à Lekoumou, un département du sud-ouest, sont autochtones.
En réduisant les écarts entre les hommes et les femmes en matière de production agricole et de salaires dans les systèmes agroalimentaires, le produit intérieur mondial pourrait augmenter de 1 %, soit près de 1 000 milliards de dollars, et diminuer les niveaux d'insécurité alimentaire dans le monde, ce qui permettrait à 45 millions de personnes supplémentaires de bénéficier de la sécurité alimenta
Le Programme alimentaire mondial (PAM) s'efforce de relier les programmes de protection sociale et de réduction des risques de catastrophe des gouvernements et des partenaires à un ensemble plus complet d'outils innovants, notamment la gestion des risques de catastrophe, le transfert des risques et l'inclusion financière.
En Haïti, les bonnes nouvelles ont un revers. Bien sûr, la bonne nouvelle, c'est que les 19 200 personnes qui étaient confrontées à des conditions proches de la famine en octobre ne le sont plus.
Les conflits, les chocs économiques, les extrêmes climatiques et la flambée des prix des engrais se combinent pour créer une crise alimentaire d'une ampleur sans précédent. Pas moins de 783 millions de personnes souffrent de faim chronique.