L’hélicoptère birotor qui atterrit sur la piste d’atterrissage poussiéreuse de Fada N’gourma change la donne pour les communautés souffrant de faim à l’est du Burkina Faso.
Ce financement permettra au PAM d'acheter 985 tonnes de maïs et 245 tonnes de pois cassés jaunes et d'en faire bénéficier à 42 000 écoliers pendant un an dans les provinces de Bubanza, Bujumbura et Cibitoke.
S'exprimant lors d'un événement de lancement à l'école primaire Buganda dans la province de Cibitoke, S.E.
Lorsqu'il s'agit de faire face aux crises climatiques et environnementales, la protection des communautés est la priorité absolue du Programme Alimentaire Mondial (PAM).
Ce document montre comment la structure globale du PAM pour la transformation des systèmes alimentaires est adapté au contexte de la région de l'Afrique de l'Ouest.
La tendance est particulièrement inquiétante dans les pays côtiers, où le nombre de femmes, d'hommes et d'enfants confrontés à la faim aiguë (phases IPC/CH 3 ou plus) devrait atteindre 6,2 millions pendant la période de soudure juin-août 2024, soit une augmentation de 16 pour cent par rapport à l'année dernière.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) travaille 24 heures sur 24 pour fournir une aide alimentaire aux communautés soudanaises confrontées à une faim aiguë. La priorité du PAM est de fournir une aide vitale dans 14 régions du pays aux personnes qui sont tombées dans la famine ou risquent de sombrer dans la famine après 500 jours de conflit incessant.
Le PAM pourrait soutenir 12 millions de personnes dans le cadre de cette réponse d’urgence si un financement adéquat est disponible. Mais la diminution des ressources pour les opérations humanitaires signifie que, malgré des besoins presque records, le PAM est contraint de cibler moins de personnes que prévu.
Cette contribution permettra au PAM d’apporter une ration de riz sur une période de 2 mois à 70 000 réfugiés installés dans le camp de M’bera situé à l’extrême sud-est du pays et à environ 50 km de la frontière malienne.