On estime à 27,3 millions le nombre des personnes souffrant d'insécurité alimentaire aigüe en RDC, soit une sur trois, parmi lesquelles quelque 7 millions de personnes aux prises avec une faim aiguë dont les degrés nécessitent une intervention d'urgence (phase 4 de l'IPC) selon la dernière en date des analyses du Cadre intégré de classification de l'insécurité alimentaire aigüe (IPC).
Pendant la saison de soudure (juin à août), le financement du Canada reçu par le PAM a contribué à couvrir les besoins alimentaires de 1,2 million de personnes ayant vu leur capacité à satisfaire leurs besoins alimentaires et nutritionnels de base diminuer au fil des années en raison de l’insécurité, de l’impact du changement climatique et de la hausse des prix des produits alimentaires.
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Après les confinements liés au coronavirus et le revers économique de la guerre en Ukraine, les repas scolaires ont fortement rebondi et atteignent aujourd’hui un nombre record d'écoliers dans le monde.
Pourtant, même si de nombreux gouvernements renforcent leurs engagements en faveur des repas scolaires, certains des plus pauvres ont du mal à les financer.
L’hélicoptère birotor qui atterrit sur la piste d’atterrissage poussiéreuse de Fada N’gourma change la donne pour les communautés souffrant de faim à l’est du Burkina Faso.
Ce nouveau financement permettra au PAM de continuer à fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle vitale à 92 100 personnes parmi les réfugiés les plus vulnérables, les rapatriés, les personnes déplacées internes et les communautés d'accueil.
Le dernier rapport sur les points chauds de la faim souligne les urgences humanitaires critiques qui risquent de passer inaperçues alors que l’attention du monde est tournée vers le conflit en Israël et en Palestine.
Outre la Palestine – qui s'ajoute à la liste des pays les plus préoccupants – le Burkina Faso, le Mali, le Sud-Soudan et le Soudan sont particulièrement exposés à une grave dét
Les impacts combinés de la sécheresse, du conflit, de la COVID-19 et de la crise économique ont gravement affecté les vies, les moyens de subsistance et l'accès des populations à la nourriture.
Affamés, assoiffés et faibles, de plus en plus d’habitants de Gaza tombent malades, selon le dernier rapport sur l'Analyse de la vulnérabilité et de la situation nutritionnelles à Gaza.
Au moins 90 pour cent des enfants âgés de moins de 5 ans sont touchés par une ou plusieurs maladies infectieuses, et 70 pour cent ont eu la diarrhée au cours des deux dernières semaines, selon l'analyse.