Un sourire timide illumine le visage de Rainatou lorsqu'elle évoque son ancien métier : le tissage de nattes peules traditionnelles dans sa maison du nord du Burkina Faso. Koumba, une autre Burkinabé, est hantée par son départ brutal de la partie occidentale du pays, après que des assaillants armés ont tué ses voisins au cours d'une des nombreuses vagues de violence.
Après les confinements liés au coronavirus et le revers économique de la guerre en Ukraine, les repas scolaires ont fortement rebondi et atteignent aujourd’hui un nombre record d'écoliers dans le monde.
Pourtant, même si de nombreux gouvernements renforcent leurs engagements en faveur des repas scolaires, certains des plus pauvres ont du mal à les financer.
Ces enfants sont les plus touchés par les ravages de la malnutrition. Le PAM se concentre en priorité sur la fourniture de produits nutritionnels spécialisés destinés à prévenir et à traiter la malnutrition dans les premières années d’une vie.
En 2016, le manque de financement a déjà eu de graves répercussions. Le PAM n’a pu aider que la moitié, voire moins, des populations visées - environ 400 000 individus sur près d'un million - laissant plus d'un demi-million de personnes cruellement démunies.Le PAM a également été forcé de réduire de moitié la quantité de nourriture fournie.
«Les dons individuels jouent un rôle croissant dans la mobilisation de ressources au profit des personnes sous-alimentées, et WeFeedback met à disposition de ces nouveaux philanthropes un tout nouveau portail en ligne,» a déclaré Nancy Roman, Directrice de la Communication, des Politiques publiques et des Partenariats privés au PAM.
6 mars
Une nouvelle journée commence et je me réjouis déjà de voyager enfin dans la province du Tigray, une des régions les plus affectées par la faim en Ethiopie.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies soutient le rétablissement des opérations portuaires pour garantir le flux des denrées alimentaires.Par Simona Beltrami« Nous sommes au bord d'une catastrophe ».
Des enfants crient de faim et meurent de malnutrition. Les gens s'exposent à des coups de feu pour atteindre les convois humanitaires, et survivent grâce au fourrage pour animaux et à une soupe à base de feuilles et d'herbe.
Ciblant 15 écoles pendant cinq mois dans les régions de Rutshuru et Rwanguba au Nord Kivu, le financement vise à améliorer l'assiduité, les performances et le bien-être des élèves grâce à l'alimentation scolaire et à l'amélioration des installations d'eau, d'assainissement et d'hygiène (WASH).