Dans la province de Rumonge, au sud du Burundi, Amina Hakizimana a échappé aux pires inondations qui ont frappé son village à la fin de l'année dernière grâce aux messages d'alerte précoce et à l'argent du Programme alimentaire mondial (PAM) qui lui ont permis de renforcer sa maison.
À plus de 2 000 kilomètres de là, en Afrique australe, le PAM a fourni des semences résistantes à la s
Un petit avion Dash 8 blanc de l'UNHAS roule sur le tarmac du minuscule aéroport de Beni, dans la province du Nord-Kivu, située dans le nord-est de la République Démocratique du Congo (RDC). En cette matinée ensoleillée, son arrivée fait jaillir un nuage de poussière, ainsi que de nouveaux espoirs pour cette région déchirée par les conflits.
Ce n’est pas un vol comme les autres.
Le PAM a distribué la semaine dernière des biscuits à haute teneur énergétique et des dates à près de 7 000 personnes à Hajjah et a commencé aujourd’hui des distributions de rations mensuelles de céréales, de lentilles, d’huile, de sel et de sucre à 10 000 personnes – dont certaines ont été déplacées depuis plus longtemps.
Que se passerait-il si les fusils se taisaient et si la violence s'arrêtait soudainement ?
À l'occasion de la Journée internationale de la paix, nous avons posé cette question aux directeurs pays du PAM en Ukraine, en Haïti et en République démocratique du Congo - trois pays où les troubles ont aggravé la faim et brisé des vies et des avenirs.
Voici leurs réflexions sur les retombées de