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Par Tayra Pinzón Maria Altagracia Fulcar garde de nombreux souvenirs de son enfance en République dominicaine, bien qu'elle ait vécu dans la pauvreté. Elle se souvient d'un agriculteur nommé Papalá, qui appelait aux dons de nourriture auprès des familles.

Le monde produit suffisamment de nourriture pour nourrir tous les habitants de la planète. Pourtant, 345 millions de personnes sont menacées de famine.

Le rapport prévoit pour juin-novembre 2022 une légère amélioration de la situation de la sécurité alimentaire, avec une réduction du nombre de personnes confrontées à l'insécurité alimentaire aiguë à 18,9 millions de personnes.

Quarante-neuf millions de personnes dans 49 pays sont au bord de la famine.

"Le fait est que 2005 a été une année exceptionnelle en catastrophes pour des millions de personnes," a déclaré J.

Des attaques à répétitions « Au cours des deux dernières semaines, neuf convois d’aide alimentaire ont été attaqués par des hommes armés dans la région du Darfour » a déclaré Kenro Oshidari, Représentant du PAM au Soudan. « Le personnel du PAM et ses sous-traitants sont arrêtés par des hommes armés, traînés hors de leur véhicule et volés à une fréquence inquiétante. » M.

La contribution de 5,22 millions d'euros reçue en 2021 à travers la Direction générale de la protection civile et des opérations d’aide humanitaire européennes (ECHO) a permis au PAM de fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle à 708 000 personnes vulnérables, notamment des femmes enceintes et allaitantes et des enfants de moins de cinq ans dans six provinces du Tchad.  "Nous so

Le rapport sur "Les points chauds de la faim - alerte précoce de la FAO et du PAM sur l'insécurité alimentaire aiguë” ('Hunger Hotspots' - en anglais) publié aujourd'hui appelle à une action humanitaire urgente dans 20 “points chauds de la faim,” où la faim aiguë devrait s'aggraver entre juin et septembre 2022, pour sauver des vies et des moyens de subsistance, et prévenir la famine. Le rapport

BUJUMBURA - Plus de 56 000 réfugiés congolais hébergés dans cinq camps au Burundi ne recevront bientôt plus que la moitié des rations alimentaires en raison de la diminution du financement des opérations humanitaires dans le pays.

Le monde est confronté à une crise de la faim mondiale d'une ampleur sans précédent - nous sommes à un carrefour critique.