Le rapport annuel, présenté officiellement cette année dans le cadre de la réunion ministérielle du groupe du G20 chargé de l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté qui se déroule au Brésil, alerte sur le fait que le monde n’est pas du tout en bonne voie pour atteindre l’objectif de développement durable (ODD) 2, Faim zéro, à l’horizon 2030.
Sur ces 14 districts, qui sont désormais en état d'alerte pour une crise de malnutrition infantile, six ne disposent actuellement d'aucune ressource ou capacité pour répondre aux besoins aigus des enfants. Les deux agences des Nations unies ont également noté que la violence et l'insécurité exacerbent les déplacements de population, entravent l'accès humanitaire et provoquent une hausse des p
"Les cabris représentent l’espoir" raconte Sainteleine Ertilus, maman de six enfants et agricultrice dans la commune de Jean Rabel, au nord-ouest d'Haïti.
Après les confinements liés au coronavirus et le revers économique de la guerre en Ukraine, les repas scolaires ont fortement rebondi et atteignent aujourd’hui un nombre record d'écoliers dans le monde.
Pourtant, même si de nombreux gouvernements renforcent leurs engagements en faveur des repas scolaires, certains des plus pauvres ont du mal à les financer.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
Les impacts combinés de la sécheresse, du conflit, de la COVID-19 et de la crise économique ont gravement affecté les vies, les moyens de subsistance et l'accès des populations à la nourriture.