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Le rapport annuel, présenté officiellement cette année dans le cadre de la réunion ministérielle du groupe du G20 chargé de l’Alliance mondiale contre la faim et la pauvreté qui se déroule au Brésil, alerte sur le fait que le monde n’est pas du tout en bonne voie pour atteindre l’objectif de développement durable (ODD) 2, Faim zéro, à l’horizon 2030.

L'appel mondial #football4ukraine intervient à un moment où près d'un quart de la population ukrainienne - plus de 10 millions de personnes - a été forcée de quitter son domicile. Quelque 3,9 millions de réfugiés ont été contraints de fuir le pays, ce qui en fait la crise des réfugiés qui connaît la croissance la plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale.

C’est à ce titre qu’il a pris part à ce concours de dessin annuel du PAM, ainsi que des milliers d'autres élèves de la RDC et de 22 autres pays dont les écoles sont également soutenues par le PAM.

L’assistance alimentaire du PAM a atteint Taïz pour la dernière fois il y a plus de cinq semaines, à travers les partenaires locaux du PAM, qui ont distribué une assistance alimentaire à près de 240 000 personnes affectées par le conflit dans la ville.« Nous plaidons pour un accès sécuritaire et immédiat à la ville de Taïz pour éviter une tragédie humanitaire, car les provisions d

« En ces temps difficiles, le PAM a un rôle encore plus important à jouer », affirme Purnima Kashyap, directrice du bureau du PAM au Yémen.

A cause du conflit au nord du pays et de l’afflux constant de réfugiés de la Corne de l’Afrique, le Yémen est confronté à de nombreux défis humanitaires.

Les conflits se sont intensifiés sur plus de 40 lignes de front, le coût des denrées alimentaires de base est à son point le plus élevé et la monnaie a perdu 25 % de sa valeur rien qu'en 2020, soit 70 % par rapport à sa valeur d'avant-guerre.

Le nouveau rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) pour le Yémen révèle que des foyers de quasi-famine (phase 5 de l’IPC) sont réapparus pour la première fois en deux ans.

Ce programme, qui doit contribuer à réduire la pauvreté, l’insécurité alimentaire et la malnutrition ainsi que la discrimination sexuelle dans l’accès à l’éducation, bénéficiera à plus d’un million de Yéménites.

Le conflit aggrave davantage la sécurité alimentaire, déjà extrêmement fragile dans le pays.