L’escalade du conflit au Liban aggrave encore la vulnérabilité d’une population déjà accablée par des crises successives.
Les bombardements obligent les gens à quitter leurs maisons et le nombre de personnes déplacées devrait bientôt atteindre le million.
Dans le cadre de son programme de résilience, le PAM met en œuvre un paquet intégré d'activités dans les zones les plus vulnérables à l’insécurité alimentaire et nutritionnelles.
Fatma Samoura, membre du Groupe des amis de l'alimentation scolaire au Sénégal (GAAS), vous manifestez à ce titre votre engagement par plusieurs initiatives en faveur des cantines scolaires, notamment dans ce contexte de crise sanitaire.
"Nous devons être autorisés à apporter cette nourriture à Gaza pour une distribution immédiate. Et pas qu'une seule fois. Nous avons besoin d’un accès durable. La situation là-bas est catastrophique et nos stocks à Gaza s’épuisent.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
La situation dans le nord de Gaza se détériore encore davantage.
La quasi-totalité de la zone fait l’objet d’ordres d’évacuation, et des milliers de familles ont été contraintes de fuir en raison d’intenses frappes aériennes et d'opérations militaires.
Les gens n’ont plus les moyens de faire face, les systèmes alimentaires se sont effondrés et le risque de famine persiste.
Les gouvernements sont les principaux partenaires du WFP. L'Agence consulte les autorités nationales et locales à chaque étape du processus de planification.