Communiqué de presse | 22 Octobre 2019
Alors que la plupart des habitants de la ville de Durayhimi ont fui, près de 200 civils sont encore sur place et demeurent très vulnérables alors que les combats continuent de faire rage autour d'eux. Aucun établissement de santé n’est fonctionnel et les magasins sont vides. Par ailleurs, il est très difficile pour la population de trouver de quoi se nourrir.