Avec un monde encore sous le choc de la pandémie de Covid-19 et plus de 3,5 millions de réfugiés supplémentaires en Europe au cours des trois dernières semaines, une onde de choc sans précédent se répercute sur le système alimentaire mondial.
Outre l'énorme opération du PAM actuellement en cours en Ukraine et l'impact sur les pays voisins, la crise a provoqué une explosion des coûts opérationne
Grâce à une contribution de 23 millions de dollars de la Suède et en s'appuyant sur l'expertise des trois agences des Nations unies, le projet permettra d'améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 144 800 personnes, en particulier des femmes et des enfants.
Il n’est même pas midi à Satara, un village isolé de la région de Tillabéri, au sud-ouest du Niger, et le thermomètre oscille déjà autour de 40 degrés Celsius. La route non pavée menant au village est cahoteuse et sablonneuse.
La suspension de l'aide arrive au pire moment possible pour la population du Soudan du Sud alors que le pays fait face à une année de faim sans précédent.
Alors que les généreuses contributions des donateurs ont permis au PAM d'apporter une aide vitale à des millions de personnes dans le besoin, de nombreuses personnes vulnérables vivant dans des zones de crise continuent de souffrir des niveaux les plus élevés d'insécurité alimentaire, et ne peuvent survivre sans une assistance alimentaire soutenue.
À partir d'octobre, 106 000 personnes déplacée
« Ce partenariat est né des efforts du ministère pour renforcer le système PDS, » explique Edward Kallon, le Directeur du PAM en Irak. « Le PAM, avec plus de 40 ans d’expérience en matière d’assistance alimentaire internationale, peut contribuer et améliorer la gestion des distributions.
“Plus de la moitié des habitants au Yémen sont confrontés à de graves pénuries alimentaires, et des millions de personnes sont au bord de la famine. Ce ne sont pas que des chiffres. Ce sont de véritables personnes, et c'est déchirant,” partage David Beasley. “Des conditions proches de la famine émergent dans tout le Yémen et la réponse est simple. Nous avons un vaccin pour cela.