Le rapport intitulé " Recherche sur la cohésion sociale au Sahel au Burkina Faso et au Niger" a été réalisé par le PAM, l'Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI) et l'Institut pour la paix et le développement (IPD).
Après des semaines de coordination avec toutes les parties, cette première étape cruciale pourrait ouvrir la voie à un couloir d’aide plus durable à travers la Jordanie et permettre la fourniture d’une aide accrue à grande échelle.
"Nous devons être autorisés à apporter cette nourriture à Gaza pour une distribution immédiate. Et pas qu'une seule fois. Nous avons besoin d’un accès durable. La situation là-bas est catastrophique et nos stocks à Gaza s’épuisent.
Des enfants crient de faim et meurent de malnutrition. Les gens s'exposent à des coups de feu pour atteindre les convois humanitaires, et survivent grâce au fourrage pour animaux et à une soupe à base de feuilles et d'herbe.
" Aux temps désespérés, il faut des mesures désespérées. Nous n'avons pas d'autre choix que d'utiliser les ressources limitées dont nous disposons pour répondre aux besoins des familles les plus vulnérables. Elles souffriront de la faim sans aide alimentaire", a déclaré Samer Abdeljaber, représentant du PAM et directeur de pays en Palestine.
“Les approvisionnements en nourriture et en eau sont minimes à Gaza et seule une fraction de ce qui est nécessaire arrive par les frontières. Avec l'hiver qui approche, les abris dangereux et surpeuplés, et le manque d'eau potable, les civils sont confrontés au risque immédiat de mourir de faim”, a déclaré McCain, Directrice générale du PAM.