Dans la province de Rumonge, au sud du Burundi, Amina Hakizimana a échappé aux pires inondations qui ont frappé son village à la fin de l'année dernière grâce aux messages d'alerte précoce et à l'argent du Programme alimentaire mondial (PAM) qui lui ont permis de renforcer sa maison.
À plus de 2 000 kilomètres de là, en Afrique australe, le PAM a fourni des semences résistantes à la s
Un petit avion Dash 8 blanc de l'UNHAS roule sur le tarmac du minuscule aéroport de Beni, dans la province du Nord-Kivu, située dans le nord-est de la République Démocratique du Congo (RDC). En cette matinée ensoleillée, son arrivée fait jaillir un nuage de poussière, ainsi que de nouveaux espoirs pour cette région déchirée par les conflits.
Ce n’est pas un vol comme les autres.
Cette collaboration historique réunit l'expertise et les ressources de deux institutions de premier plan pour relever les défis complexes de la sécurité alimentaire, de la nutrition et de la résilience auxquels sont confrontés des millions de personnes, et elle informera et guidera le travail du PAM.
"En unissant nos forces avec le J-PAL et le MIT, nous exploitons le pouvoir de l'innovation et
Au cours de l’année écoulée, le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a connu le pire déficit de financement de ses 60 ans d’histoire : nous n’avons collecté que 7,5 milliards de dollars sur les 23,5 milliards de dollars prévus.
Cela a entraîné une réduction colossale du nombre de personnes que nous servons.