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Le pic de la soudure (de décembre 2019 à Janvier 2020) coïncide également avec la période culturale.

  Dans les rues de Paoua, l'on retrouve la chaleur habituelle des villages. On croise des enfants qui jouent, des chasseurs et des cultivateurs qui reviennent des champs.

Comme partout ailleurs dans le monde, les mesures de prévention de la COVID-19 (restrictions des déplacements à titre d’exemple) ont affecté les activités de subsistance des familles.  Les réfugiés et les ménages déplacés ne sont pas épargnés par les effets socioéconomiques de cette crise. Certaines familles dépendent d’activités précaires et peinent à joindre les deux bouts.

« Personne ne pouvait prédire l’importance et l’ampleur de cette catastrophe qui a plongé femmes et enfants dans la spirale de la faim et de la malnutrition, » explique Josette Sheeran, Directrice Exécutive du PAM. « Nous devons désormais rapidement passer à l’étape supérieure.

Cette hausse a été révélée dans un récent rapport du Comité d’évaluation de la vulnérabilité au Zimbabwe (ZimVAC) qui analyse les niveaux nationaux de sécurité alimentaire et identifie les zones affectées.

Les données recueillies par le mécanisme mobile d’analyse et de cartographie de la vulnérabilité du PAM (mVAM) font un suivi de la consommation alimentaire des ménages. La visualisation des données montre comment les familles font face à la faim et à la pénurie de nourriture au fil des mois.

Depuis trois ans, une des modalités utilisées par le PAM à Madagascar est l’assistance via des transferts monétaires.

Le hub aérien humanitaire d'Addis-Abeba entre dans le cadre d’une initiative des Nations Unies visant à intensifier l'achat et la distribution d'équipements de protection et de médical pour l'intervention face au COVID-19.

A la fin de leur visite conjointe, les deux représentants de l’ONU ont reconnu les développements politiques positifs qui ont eu lieu dans le pays sous l’impulsion de ses autorités et avec le soutien du Conseil de Coopération du Golfe, tout en soulignant le fait que la situation humanitaire au Yémen demeure critique. «Le Yémen est un pays frappé par la pauvreté chronique et

« Ce dont le Yémen a besoin, c'est de la paix », a déclaré David Beasley. « Ce n’est qu’alors qu’il sera possible de relancer l’économie, de maîtriser la monnaie et de commencer à payer les salaires de la population, afin que les gens puissent acheter de la nourriture et autres produits de première nécessité.