1.Le PAM est la plus grande agence humanitaire au monde qui sauve des vies dans les situations d'urgence et qui utilise l'aide alimentaire pour favoriser la paix.
La réponse massive – s’élèvant à 1, 2 milliards de dollars d’aide pour environ 10 million de personnes à travers huit pays – a permis d’éviter une catastrophe humanitaire.
Cette hausse du nombre de personnes souffrant d’insécurité alimentaire survient au moment où la pandémie COVID-19 entre déjà dans ces pays fragiles et dans une région où les systèmes de santé sont les plus faibles du monde.
Le Burkina Faso - qui a connu le plus grand nombre de décès dus à COVID-19 en Afrique subsaharienne - est le pays où le nombre de personnes souffrant d'insécurité alimentair
Grâce à une contribution financière de 500 000 dollars américain de la République populaire de Chine, le PAM a pu acheter sur le marché local, 694 tonnes de maïs permettant de compléter un panier alimentaire composé de haricot, d’huile végétale, du sel iodé, et de super céréale.
Grâce à une contribution financière de l’Union européenne par la Direction générale de la protection civile et des opérations d'aide humanitaire européennes (ECHO), le PAM en partenariat avec l’Agence nationale de protection civile (ANPC), effectue des transferts monétaires aux personnes ciblées, leur permettant de se procurer elles-mêmes de la nourriture pour répondre à leurs besoins alimentaire
La compagnie aérienne mandatée par les Nations Unies pour permettre aux humanitaires un accès à des lieux où il n'existe pas de transport aérien sûr ou fiable.
L’Afrique australe est aux prises avec une sécheresse sans précédent, déclenchée par El Niño, un phénomène climatique récurrent connu pour sa capacité à exacerber les conditions météorologiques sèches ou orageuses.
Le PAM prévoit de fournir une assistance alimentaire à 8 millions de personnes dans la région du Sahel et cette nouvelle contribution soutiendra des programmes nutritionnels auprès d’un million d’enfants de moins de 2 ans et 500 000 femmes enceintes et allaitantes qui seront en proie à la malnutrition dans les mois à venir.
«Dans le Sahel, les indications d’alerte pr