À la suite de la conférence de haut niveau sur la sécurité alimentaire et la situation nutritionnelle en Afrique de l'Ouest organisée cette semaine à Paris, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Fonds international de développement agricole (FIDA) et le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies appellent à des engagements politiques et financie
Plus de 31 millions de personnes dans la région devraient être en situation d'insécurité alimentaire - et incapables de se nourrir pendant la saison de soudure de juin-août, période précédant la prochaine récolte et au cours de laquelle les réserves alimentaires sont épuisées.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.
Ce programme de six ans vise à répondre aux besoins prioritaires d’environ 854 000 personnes des zones rurales dont 50 pour cent de femmes et 40 pour cent de jeunes, en Mauritanie, au Mali, au Burkina Faso, au Niger, au Sénégal et au Tchad.
Le projet, soutenu par une contribution de 20 millions d'euros du Fonds fiduciaire d'urgence de l'Union européenne pour l'Afrique, permettra au PAM d’apporter une assistance immédiate pour réduire l'insécurité alimentaire et la malnutrition, tout en soutenant l'ensemble de la chaîne de valeur des aliments nutritifs.
Les effets combinés des conflits et du changement climatique, aggravé
The TOR notably presents the scope, objectives, key issues, stakeholders and users of the evaluation. It also describes the evaluation approach, team composition and organization.
La contribution du programme McGovern-Dole, à travers le Département de l’Agriculture des États-Unis, permet au PAM de continuer à fournir un repas quotidien chaud à 125 000 enfants dans 613 écoles primaires publiques dans les régions les plus vulnérables du pays (Cavally, Bafing, Bagoue, Poro, Tchologo, Bounkani, Gontougo).
Cette contribution, d’une valeur de 8,4 millions d’euros, permettra de soutenir la sécurité alimentaire et nutritionnelle de plus de 469 000 personnes affectées par l’escalade des conflits, les effets du changement climatique et la hausse des prix à travers un ensemble d’activités spécifiques à chaque pays.