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Alors que les généreuses contributions des donateurs ont permis au PAM d'apporter une aide vitale à des millions de personnes dans le besoin, de nombreuses personnes vulnérables vivant dans des zones de crise continuent de souffrir des niveaux les plus élevés d'insécurité alimentaire, et ne peuvent survivre sans une assistance alimentaire soutenue. À partir d'octobre, 106 000 personnes déplacée

Pour la première fois au Sahel, 45 000 personnes connaitront des niveaux de faim catastrophiques (phase 5) - à un pas de la famine - dont 42 000 au Burkina Faso et 2 500 au Mali. Les effets combinés des conflits, des chocs climatiques, du COVID-19 et des prix élevés des denrées alimentaires continuent d'aggraver la faim et la malnutrition dans la région.

Avant la déclarationd’épidémie d’Ebola au Nord-Kivu, le 1er aout, le WFP venait déjà en aide à des centaines de personnes déplacéesen raison du conflit armé dans la province. A Beni, l’épicentre de l’épidémie d’Ebola, 12 000 personnes déplacées ont reçu des rations alimentaires mensuelles du WFP depuis juillet.

Les familles des patients sorties des centres de traitement, et de ceux ayant été en contact avec ces derniers ou étant des victimes présumées, reçoivent trois mois de provision de céréales et de haricots par Oxfam, un partenaire en coopération avec le WFP. Il est estimé que 1000 personnes sont en besoin immédiat d’assistance.

A Dara’a, les combats ont entraîné la fermeture des routes permettant l’acheminement de marchandises ainsi que l’augmentation du prix du pétrole et des autres produits de première nécessité.

Jusqu'à présent, l'intensification opérationnelle a permis d'éviter les pires conséquences de la crise de la faim en Somalie. Mais la situation sur le terrain reste désastreuse, des vies et des moyens de subsistance étant perdus.

Près de 27 millions de personnes, soit un quart de la population de la RDC, sont confrontées à des conditions de crise ou d'insécurité alimentaire aiguë d'urgence, alimentées par de mauvaises récoltes, des déplacements dus à la violence, des maladies et l'effondrement des infrastructures, selon la dernière analyse du Cadre intégré de la classification de la sécurité alimentaire (IPC), publiée aujo

Le Programme alimentaire mondial (PAM) est engagé dans une « course contre la montre » pour éviter une catastrophe humanitaire en Afghanistan, a prévenu son directeur exécutif David Beasley. Au total, 22,8 millions de personnes, soit plus de la moitié de la population, sont confrontées à une faim aiguë alors que les températures chutent en dessous de zéro. "Ce qui se passe en Afghanistan

Madagascar est vulnérable aux aléas climatiques tels que cyclones, inondations, sécheresse mais aussi invasion acridienne. Le nombre de personnes vivant dans des zones sujettes aux chocs dans le pays, principalement le sud et le littoral sud-est, est estimé à cinq millions.

La crise effroyable que traverse la Syrie entre dans sa cinquième année. Une crise qui continue d’avoir un coût humain inacceptable. Une crise que la communauté internationale n'a pas réussi à arrêter.Plus de 200 000 personnes ont été tuées. Les enfants et les jeunes sont soumis et entourés par la violence, le désespoir et les privations.