Dans les régions pauvres, le VIH/SIDA et l’insécurité alimentaire vont de pair. Si une alimentation saine ne guérit pas, elle est une condition pour le bon fonctionnement des thérapies existantes et peut prolonger le temps de vie des personnes déjà infectées.
Des enfants crient de faim et meurent de malnutrition. Les gens s'exposent à des coups de feu pour atteindre les convois humanitaires, et survivent grâce au fourrage pour animaux et à une soupe à base de feuilles et d'herbe.