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Le monde produit suffisamment de nourriture pour nourrir tous les habitants de la planète. Pourtant, 345 millions de personnes sont menacées de famine.

L'attaque survenue le 10 août 2023 a visé un hélicoptère de type Mi-26 peu après son décollage de Ouahigouya, dans la région du Nord, à destination des zones assiégées de la région du Sahel où des milliers de familles sont coupées de tout accès depuis des mois. Tous les passagers et membres d'équipage à bord sont heureusement indemnes. Le PAM appelle tous les groupes et parties au conflit à

Les gouvernements nationaux sont en première ligne face à cette crise, avec le soutien du PAM, apportant une aide alimentaire et nutritionnelle essentielle à près d'un million de personnes dans la région..« Quatorze pays sont confrontés à la montée des eaux, à l'effondrement de milliers de maisons, à la destruction de vastes étendues de terres agricoles et à la menace de la faim.

Après les confinements liés au coronavirus et le revers économique de la guerre en Ukraine, les repas scolaires ont fortement rebondi et atteignent aujourd’hui un nombre record d'écoliers dans le monde. Pourtant, même si de nombreux gouvernements renforcent leurs engagements en faveur des repas scolaires, certains des plus pauvres ont du mal à les financer.

Dans les abris d’urgence, des milliers de personnes ont immédiatement besoin de nouriture. Le centre d’urgence du PAM au Bangladesh a livré un premier lot de 98 tonnes de biscuits – essentiels pendant les premiers jours après une catastrophe, la population étant dans l’impossibilité de préparer ses repas – qui permettra de nourrir 400 000 personnes pendant les trois prochains jours.

Après des semaines de coordination avec toutes les parties, cette première étape cruciale pourrait ouvrir la voie à un couloir d’aide plus durable à travers la Jordanie et permettre la fourniture d’une aide accrue à grande échelle.

Ce financement intervient à un moment crucial pour le Cap-Vert, qui est confronté à des défis importants dans la réalisation de ses objectifs de développement économique et humain, en particulier dans les domaines de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.

"Nous devons être autorisés à apporter cette nourriture à Gaza pour une distribution immédiate. Et pas qu'une seule fois. Nous avons besoin d’un accès durable. La situation là-bas est catastrophique et nos stocks à Gaza s’épuisent.

Des collègues nous disent que l’hépatite A est la maladie numéro un à Gaza. Les maladies diarrhéiques sont également monnaie courante en raison du manque de tout type d'assainissement.