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Les gouvernements nationaux sont en première ligne face à cette crise, avec le soutien du PAM, apportant une aide alimentaire et nutritionnelle essentielle à près d'un million de personnes dans la région..« Quatorze pays sont confrontés à la montée des eaux, à l'effondrement de milliers de maisons, à la destruction de vastes étendues de terres agricoles et à la menace de la faim.

"Nous fournissons principalement des repas chauds, des rations alimentaires prêtes à consommer et des colis alimentaires familiaux - des denrées qui ne nécessitent aucune installation de cuisson et peuvent être consommées immédiatement", a déclaré Corinne Fleischer, directrice régionale du PAM pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord.

"Il n'y a qu'une seule façon de décrire ce que j'ai vu aujourd'hui : apocalyptique. Des quartiers entiers ont été rasés, des maisons détruites, des écoles et des magasins fermés, des vies déchirées. L'ampleur de la dévastation ici est vraiment incompréhensible", a déclaré M.

L'entrepôt était utilisé pour stocker une partie des fournitures humanitaires déchargés des camions en provenance d'Égypte avant leur distribution aux familles déplacées.

Le Programme alimentaire mondial a besoin de 570 millions de dollars américains alors qu'il lance une réponse d'urgence de trois mois à la crise ukrainienne.

 Corinne Fleischer décrit Gaza comme "une situation terrible qui s’aggrave".Au cours des deux dernières semaines, 21 points de distribution alimentaire du Programme alimentaire mondial (PAM) ont été fermés en raison d'ordres d'évacuation.

Dans ce qui était autrefois une salle de classe, Ahmed, 13 ans, est assis devant un tableau vierge. Il n'est pas allé à l'école depuis des mois.

Les bons d’achats s’adressent dans un premier temps à 120,000 personnes qui subissent les effets des prix élevés à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, où le prix du mil ou du sorgho demeure élevé, avec une augmentation de plus de 25% par rapport à l’année dernière.

Un petit avion Dash 8 blanc de l'UNHAS roule sur le tarmac du minuscule aéroport de Beni, dans la province du Nord-Kivu, située dans le nord-est de la République Démocratique du Congo (RDC). En cette matinée ensoleillée, son arrivée fait jaillir un nuage de poussière, ainsi que de nouveaux espoirs pour cette région déchirée par les conflits.  Ce n’est pas un vol comme les autres.