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Le PAM continue de répondre aux besoins alimentaires croissants au Tchad, mais le déficit de financement signifie que l'assistance alimentaire aux réfugiés et aux personnes déplacées à l'intérieur du pays s'arrêtera complètement ce mois-ci si aucun fonds supplémentaire n'est reçu.

Le convoi qui a traversé la frontière de Rafah samedi contenait trois camions transportant 60 tonnes de nourriture d'urgence du PAM.

Le changement climatique nous affecte tous, mais l'Afrique subsaharienne est particulièrement vulnérable à ses retombées.

Cela peut porter un énorme préjudice à l’indispensable couloir humanitaire qui relie le Liban et le monde extérieur. Le PAM est très préoccupé par la destruction de ce qui a été jusqu’ici son itinéraire principal d'approvisionnement.

N’ayant aucun moyen de produire ou d’importer de la nourriture, l’ensemble de la population de Gaza dépend de l’aide pour sa survie. Or, l’aide humanitaire à elle seule ne peut répondre aux besoins essentiels des Gazaouis.

Les agriculteurs qui ont fui leurs villages à cause du conflit ont raté trois saisons agricoles successives. Du coup, les vivres manquent cruellement. L'aide alimentaire ne parvient pas à combler le vide. Seulement 400 000 des 3,2 millions de personnes souffrant d'insécurité alimentaire grave au Kasaï ont reçu une aide en décembre. Plus de 750 000 sont toujours déplacées.

La situation au Soudan est catastrophique.

Dans une lettre adressée au PAM, Son Altesse Cheikh Mohammed Ben Rashid Al Maktoum, Vice Président et Premier Ministre des Émirats Arabes Unis et Émir de Dubaï, a exprimé l'espoir que cette contribution marque une « étape importante dans nos relations et renouvelle notre partenariat afin d’aider ceux qui souffrent de la pauvreté et de satisfaire les besoins des personnes qui ont faim.

Le Kasaï et le Kasaï Central, dans le centre-sud de la République Démocratique du Congo (RDC), peuvent compter sur un sol fertile abondant, équivalent à près de 10 pour cent des terres arables du pays, ce qui fait de ces provinces une zone stratégique pour le développement de la chaîne de valeur agricole. En 2016, les deux provinces sortaient d'une période de conflits violents qui ont fragilisé

nous estimons que nous aurons besoin en tout d’environ 1,5 millions de dollars pour répondre aux besoins alimentaires de base des victimes des inondationsRichard Ragan, Représentant du PAM au Népal «Depuis le début des fortes pluies, le gouvernement népalais et la Société de la Croix-Rouge du Népal ont travaillé sans relâche afin de répondre aux besoins essentiels des victimes des inondations d