Dans les régions pauvres, le VIH/SIDA et l’insécurité alimentaire vont de pair. Si une alimentation saine ne guérit pas, elle est une condition pour le bon fonctionnement des thérapies existantes et peut prolonger le temps de vie des personnes déjà infectées.
Ils arrivent au Tchad par milliers, la grande majorité d'entre eux étant des femmes et des enfants qui traversent une frontière désolée et balayée par le vent depuis le Soudan.