Une école primaire servant des repas scolaires est un exemple emblématique des efforts visant à promouvoir l'inclusion sociale et l'harmonie en République du Congo.
Près d'un tiers des enfants qui fréquentent l'école Makoubi à Lekoumou, un département du sud-ouest, sont autochtones.
Pendant toute sa vie professionnelle, Augustin Eril a gagné sa vie en cultivant les terres fertiles du département central de l'Artibonite, le grenier à blé d'Haïti.
Mais lorsque le temps de la récolte est arrivé en mai dernier, ce riziculteur de 42 ans a fait face à une situation accablante : des bandits ont débarqué sur son terrain et ont volé toute sa récolte, leurs armes prêtes à
Chaque matin, vous pouvez trouver Assoura Mahamadou dans sa boucherie, au cœur de Kabara, un quariter périphérique de la ville historique de Tombouctou, au Nord du Mali.
Depuis 30 ans, hommes et femmes se relaient sous son hangar au toit de chaume pour se procurer de la viande de mouton.
Au début de l'année 2020, les programmes d'alimentation scolaire ont fourni plus de repas scolaires que jamais auparavant - à 388 millions d'enfants (ou un enfant sur deux dans le primaire dans le monde).
Mais ces efforts ont été interrompus par la pandémie de Covid-19.
Après les confinements liés au coronavirus et le revers économique de la guerre en Ukraine, les repas scolaires ont fortement rebondi et atteignent aujourd’hui un nombre record d'écoliers dans le monde.
Pourtant, même si de nombreux gouvernements renforcent leurs engagements en faveur des repas scolaires, certains des plus pauvres ont du mal à les financer.
Depuis près de 20 ans, Eam Sokhan, 45 ans, supervise la mise en œuvre des programmes d'alimentation scolaire dans son Cambodge natal. Actuellement, Sokhan est la directrice de l'école primaire Doun Aov dans le district d'Angkor Thom, dans la province de Siem Reap.