Zuhayya, son mari Khalaf et leurs neuf enfants vivent dans le district de Maskaneh, dans la campagne d'Alep. Il y a plus d'une décennie, leurs champs étaient riches.
Jusqu'à 1,7 million de personnes risquent de mourir de faim au Soudan du Sud, car le manque de financement signifie que le Programme alimentaire mondial ne peut atteindre à peine plus des deux tiers des personnes qu'il a ciblées pour l'aide humanitaire cette année.
La suspension de l'aide arrive au pire moment pour la population du Soudan du Sud qui fait face à une année de faim sans p
Alors que les combats font rage dans la capitale, le PAM a pu atteindre près de 300 000 personnes au cours des dix premiers jours de mars, avec des repas chauds essentiels, des distributions de nourriture, des transferts monétaires et des repas dans les écoles.
Les récents accords entre Haïti et le Kenya permettant le déploiement d'une mission multinationale de soutien à la sécurité en Haïti so
La suspension de l'aide arrive au pire moment possible pour la population du Soudan du Sud alors que le pays fait face à une année de faim sans précédent.
Voici une mise à jour de la situation dans les zones touchées par le conflit et la sécheresse en Éthiopie :
Dans le nord de l'Éthiopie, 19 mois de guerre ont laissé plus de 13[1] millions de personnes dans le besoin d'une aide humanitaire alimentaire, principalement dans les zones touchées par le conflit dans les régions d'Afar, d'Amhara et du Tigré.
Les vivres et les équipements
Au niveau actuel de financement pour l'année civile, le PAM ne dispose pas des ressources nécessaires pour fournir une assistance alimentaire à un total de 750 000 personnes qui en ont un besoin urgent.
Il est presque midi par une journée caniculaire de la fin d'un mois d’août – 53°C. Nous suivons Jermal, un agriculteur de Bassorah, en Irak, sur un sentier étroit jusqu'à sa serre. Nos pas soulèvent la poussière de la terre craquelée et sépia.
"Nous n'avons pas d'autre choix que de prendre de la nourriture à ceux qui ont faim pour nourrir les affamés et, à moins de recevoir un financement immédiat, dans quelques semaines, nous risquons de ne même plus pouvoir nourrir les affamés.