En raison de l'impact combiné de la violence, de l'insécurité, des déplacements de population, de l'accès limité à la nourriture, aux services de santé, d'eau et d'assainissement, de la hausse des prix des denrées alimentaires, ainsi que des répercussions socio-économiques de la pandémie de COVID-19, 27 localitéss[1] réparties dans 14 districts sanitaires du pays affichent actuellement des niveaux
Le “projet lait” – connu ici comme “l’or blanc du Sahel” – a débuté en 2015 à Dori, la capitale de la région du Sahel, une des plus pauvres et exposée à la malnutrition, au Burkina-Faso.
Après des semaines de coordination avec toutes les parties, cette première étape cruciale pourrait ouvrir la voie à un couloir d’aide plus durable à travers la Jordanie et permettre la fourniture d’une aide accrue à grande échelle.
Un sourire timide illumine le visage de Rainatou lorsqu'elle évoque son ancien métier : le tissage de nattes peules traditionnelles dans sa maison du nord du Burkina Faso. Koumba, une autre Burkinabé, est hantée par son départ brutal de la partie occidentale du pays, après que des assaillants armés ont tué ses voisins au cours d'une des nombreuses vagues de violence.
"Nous devons être autorisés à apporter cette nourriture à Gaza pour une distribution immédiate. Et pas qu'une seule fois. Nous avons besoin d’un accès durable. La situation là-bas est catastrophique et nos stocks à Gaza s’épuisent.
Quelque 12,1 millions de personnes, soit plus de 50 % de la population, sont actuellement en situation d'insécurité alimentaire et 2,9 millions d'autres risquent de sombrer dans la faim.
Le Programme alimentaire mondial (PAM) stocke 310 tonnes de nourriture à la frontière de Gaza, prêtes à être expédiées aux personnes qui en ont désespérément besoin – dès que l'accès humanitaire sera accordé.
Les fournitures du PAM à Al Arish en Égypte, pourraient nourrir 244 000 personnes pendant une semaine si un accès sans entrave et un passage sûr étaient assurés à nos équipes sur le te