"Il s'agit d'une situation dramatique pour des milliers de personnes qui ont perdu leurs moyens de subsistance. J'appelle la communauté internationale à soutenir les efforts du gouvernement et des Nations Unies pour réduire d'urgence les souffrances de milliers de Salvadoriens", a déclaré Miguel Barreto, directeur régional du PAM pour l'Amérique latine et les Caraïbes.
L’odeur âcre des haricots bouillants et de l’ugali (farine de maïs) brûlée qui flotte dans les couloirs est celle dont je me souviens de mon enfance dans un internat gouvernemental à Dar es Salaam, la capitale de la Tanzanie.
Parfois, l’odeur se transformait en chou bouillant et riz brûlé.
« Ce dont le Yémen a besoin, c'est de la paix », a déclaré David Beasley. « Ce n’est qu’alors qu’il sera possible de relancer l’économie, de maîtriser la monnaie et de commencer à payer les salaires de la population, afin que les gens puissent acheter de la nourriture et autres produits de première nécessité.
« Nous avons déjà perdu nos maisons à Khartoum sous nos yeux et vu nos vies être détruites. Aujourd’hui, nous sommes obligés de fuir une fois de plus, laissant derrière nous le peu qui nous restait. Des centaines de milliers de personnes fuient à pied, sans nulle part où aller.
La plupart des aliments distribués par le Programme alimentaire mondial (PAM) aux personnes dans le besoin nécessitent une cuisson, tandis que l'eau potable doit souvent être désinfectée par ébullition.